Joined Diaspora* ou plutôt Diasporg

3ème mise à jour :

28/8/2012, A l’occasion de la cession de Diaspora à la communauté (ou l’abandon de la part de ses développeurs) je reviens sur Diaspora mais non pas sur diasp.org mais le serveur principal. Mon espoir tenant dans le fait qu’on peut interconnecter Facebook (que j’ai rejoint de nouveau depuis ma dernière mise à jour), Twitter (sur lequel je suis mais dont je ne me sers pas du tout) et Diaspora. Et avant même de constater cette interconnexion, j’observe déjà que la communauté est plus active que ces derniers mois.

2ème mise à jour :

J’ai cloturé mon compte sur Diasp.org, mon sevrage de Facebook m’a montré que je n’ai vraiment pas besoin d’être sur un réseau social : je suis déjà sur un réseau dynamique, celle des blogueurs.

Mise à jour :

Alors que j’avais commencé à traduire le didacticiel officiel de Diaspora*, j’ai trouvé ce guide du débutant qui convient très bien. Enjoy !

Diasporg (pour Diasp.org), on a beau dire mais on dirait qu’on va dégobiller…

Bon, petite brève pour dire que j’ai rejoins Diaspora sur le serveur Diasp.org… Comme ça, pour voir…

La vache, c’est sobre…

Puis pour l’instant, j’ai pas compris grand chose… faut dire qu’un réseau social sans friendlist on en a vite fait le tour… (j’aime bien les points de suspension…)

Bon, en attendant qu’une bonne âme se dévoue pour m’expliquer les fonctionnalités du bousin*, j’ai suivi le conseil de Monsieur P4tr1ck et adopté le tag #french

Je crois que je vais décrire cette aventure pour ceux qui ne connaissent pas et qui ne veulent pas servir de cobaye.

Déjà pourquoi Diasp.org ? Le serveur officiel, c’est http://joindiaspora.com mais le souci c’est qu’il faut être invité pour y accéder. Ca fait des mois que j’ai fait une demande. Vainement. Diasp.org est conseillé ici et là et c’est le 2ème choix sur Google. Et ne demande pas d’invitation. Le choix est vite fait.

1ère série de questions : le système Diaspora  est donc un système de gestion de réseau social, c’est bien ça ? Comme WordPress est un système de gestion de blog ou Xoops un CMS ? Qu’on peut héberger sur son propre serveur et faire tourner ? Si j’ai bien compris les systèmes Diaspora installés sur différents serveurs peuvent interagir, c’est bien ça ? J’ai vu qu’on nous affuble d’une adresse email en @diasp.org en ce qui me concerne, je suppose que c’est via cette adresse email que les systèmes diaspora installés sur différents serveurs communiquent. Si quelqu’un a la réponse qu’il n’hésite pas… Et qu’on ne me réponde pas que tout est sur Github.com, c’est complètement imbitable ce truc, je ne suis qu’un simple utilisateur pas un développeur…

Première prise en main, certes c’est sobre mais j’aime bien, une pseudo sobriété style 2010 avec fond blanc saupoudré de blocs gris ou noirs qui donnent un effet de limpidité. Une paire d’icônes multi-fonctionnelles discrètes ici et là. On remplit un formulaire pour compléter un profil assez minimaliste. Petite différence avec FB (surement héritée de twitter mais comme je n’y ai jamais mis les pieds…), on nous demande de nous décrire en 5 mots-clés ou tags (genre #blabla, #trucmuche, etc.). Ce choix a pour conséquence de nous insérer dans des groupes qui dérivent de ces tags. Ainsi, si on a choisi le tag #french, notre profil apparait dans une liste de gens qui partagent ce tag. Pratique mais on dépend rapidement des variations d’orthographe et de dialecte, il suffit qu’un gus fasse un tag #français pour disperser cette communauté. En plus de ça, il suffit de citer un tag dans un de nos billets pour que ce billet apparaisse sur le « mur » du groupe correspondant à ce tag. Ca permet de contribuer à un groupe sans en faire partie, du moins c’est comme ça que je l’ai perçu, à vérifier. Y a donc cette notion de groupes chère à FB, en plus ouvert apparemment.

Pour le mur personnel, on dispose de ce qu’on appelle les aspects. Ce sont des sous-groupes dans la friendlist dont le contenu peut être public ou non (si on le souhaite, les gens ne savent pas que tel ou tel « aspect/sous-groupe » existe et qui en fait partie). Ensuite quand on écrit une actualité sur son mur, on choisit quels aspects/sous-groupes peuvent les lire. On peut donc cloisonner les amis, la famille, les collègues, mettre des collègues dans la liste « amis » pour que certains profitent différemment de nos actualités, etc.

C’est tout pour le moment.